la reine Didon, éblouissante, s'ava

la reine Didon, éblouissante, s'avance vers le temple,Des gens, désignés dans tous les navires, venaient demander grâce et montaient au temple parmi les clameurs.Ils entrent et sont autorisés à s'exprimer devant la reine ;le plus âgé, Ilionée, très calmement, commença à parler :« Ô reine, à qui Jupiter accorda de fonder une ville nouvelle nous, malheureux Troyens, que les vents ont transportés sur les mers,t'implorons : protège nos navires épargne un peuple pieux, et considère avec bonté notre situation.Non, ce n'est pas armés que nous venonspour dévaster les maisons des Libyens, ni pour emporter du butin vers le rivage ;Si vous méprisez le genre humain et les armes des mortels,sachez toutefois que les dieux prennent en compte le bien et le mal.Nous avions un roi, Énée, personne jamais ne le surpassa en équité attendent, ainsi que l'illustre Aceste, de sang troyen.Permets-nous de tirer au sec notre flotte détruite par la tempête,s'il nous est donné tendre vers l'Italie, après avoir retrouvé notre roi si le salut nous est refusé regagnons alors la mer de Sicanie, d'où nous avons été emportés jusqu'ici ; retournons chez le roi Aceste. »

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Dido, fulgenti ambulat in templo populo, omnibus navibus ad templum ascendit in gratiam clameurs.Ils venere sedem petitum, et intraveritis ut loquamini licet reginam maiore Ilionée admodum exceptis, coepit loqui: 'O Regina, novam cui condere Iuppiter urbem qui Troes te miseri, ventis mari traiecto, obsecro protege piorum savings naves et iudicat situation.Non nostra colloquia, hoc obarmatus nos venonspour domos Libyes devastant nec tollendi ad Tyneta litore Si execraris genus humanum, et arma mortalibus, sciat se habere deos account mal.Nous bonum et rex erat Aeneas, nemo umquam aequitate supergressa est, insidias facere ut illustrari aceste, troyen.Permets ad operam sanguinem arefaciet classis nostra iterum perdidit procellis, s ' datur mollis Italiam redire uolens si salus rex noster negatur tunc repetendam Sicania mare a ubi abolita fuisset longe; Aceste ad regem remisso. "