En France, le même gouvernement et les mêmes
hauts fonctionnaires qui étaient en place au moment
des attentats de début 2015 sont toujours là, et
il n’y a pour l’instant aucun signe du moindre
examen public des erreurs qui auraient pu être
évitées, tant en janvier qu’en novembre. Pour
l’heure, le gouvernement français semble pointer la
responsabilité des Belges, des Syriens, des Européens
aux frontières du continent, mais pas de ses propres
services de renseignement ou des ministres qui les
gèrent.