Tu as déposé en moi quelque chose d

Tu as déposé en moi quelque chose d’éternel et tu t’es permis d’arracher le reste. Tu as créé en moi un vide immense pour pouvoir en retour nourrir tes souffrances. Tu m’as rejeté car j’avais en moi la vérité, cette vérité que tu refoule en toi en vivant dans le mensonge. Rien de toi n’est vrai et pourtant tu m’y as fait croire. Dans le seul but de te soulager, sans penser aux souffrances et au mal que tu pouvais me causer. Mon âme t’a observé même si mon corps n’en pouvait plus. Aujourd’hui je suis vide, vide de tout. Il ne reste que de moi la sagesse et la force, mais il reste aussi la haine et la vengeance. L’espoir n’y est plus, ni l’envie d’aimer. Il me reste l’envie de vivre car celle-ci toujours je l’aurai. Une fois de plus j’ai voulu te sauver, une fois de plus tu as préféré souffrir.

Résultats (Latin) 1:

Vos deposui in me quid aeternum et tu licet trahere reliqua. Me creasti in cibos tuos in dolore magna vacuum. Tu reliquisti me, ut me in veritate mendacium veritatem tuam et superstitem te premit. Neque tamen verum est, et non credebat. Unicus scopus sublevandis absque dolore cogitat malum quod loquatur mihi. Nolebat anima mea observabitur etiamsi corpus. Hodie ego inanis, vacua omnia. Tantum mihi sapientiam et virtutem, sed etiam ex odio et vindicta manet. Et periit spes nostra, et inclinatio ad amandum. Adhuc habeo quod semper habebo uiuendi cupiditate. Iterum volui Salve iterum subire voluisti.