Un autre, son bréviaire ou l’écriture sainte à la main, marche avec ces livres des divines promesses, et montre par son visage et sa démarche qu’il s’attend à les voir se réaliser quand il recevra le coup fatal. Quelques-uns, présentant aux assassins un front angélique, les regardent avec une douce charité, dans laquelle on ne peut méconnaître une touchante compassion pour leur frénésie. (…) Plusieurs enfin jettent des regards de prédestinés sur la croix de l’autel et répètent ces paroles de Jésus Christ : Mon Dieu, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font.