Le paludisme (du latin palus, « marais »[1]), aussi appelé malaria (de traduction - Le paludisme (du latin palus, « marais »[1]), aussi appelé malaria (de Créole haïtien comment dire

Le paludisme (du latin palus, « mar

Le paludisme (du latin palus, « marais »[1]), aussi appelé malaria (de l'italien mal'aria, « mauvais air »[2], terme utilisé par les anglophones), est une maladie infectieuse due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles.

Avec 207 millions de personnes malades et 627 000 décès en 2012[3], le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas sont enregistrés en Afrique subsaharienne (cf. section détaillée : « Épidémiologie »).

Le parasite du paludisme est principalement transmis, la nuit, lors de la piqûre par une femelle moustique du genre Anopheles, elle-même contaminée après avoir piqué un individu impaludé. Le parasite infecte les cellules hépatiques de la victime puis circule dans le sang, en colonisant les hématies et en les détruisant. De nombreuses espèces animales homéothermes sont parasitées par des Plasmodiidae, qui leur sont inféodés ; l'humain ne peut être parasité par des Plasmodium animaux, exception faite du Plasmodium knowlesi. Sur les cent-vingt-trois espèces du genre Plasmodium répertoriées, seules quatre sont spécifiquement humaines : Plasmodium falciparum responsable d'une grande majorité des décès, et trois autres qui provoquent des formes de paludisme « bénignes » qui ne sont généralement pas mortelles Plasmodium vivax, Plasmodium ovale, et Plasmodium malariae. Plasmodium knowlesi (en) que l'on croyait jusqu'à une date récente spécifique aux espèces simiennes est désormais à compter parmi les Plasmodiums affectant également les humains, de façon généralement bénigne également (cf. section détaillée : « Causes »).

La cause de la maladie a été découverte le 6 novembre 1880 à l'hôpital militaire de Constantine (Algérie) par un médecin de l'armée française, Alphonse Laveran, qui reçut le prix Nobel de physiologie ou médecine en 1907. C'est en 1897 que le médecin anglais Ronald Ross (prix Nobel en 1902) prouva que les moustiques anophèles étaient les vecteurs de la malaria (jusqu'à cette date, le « mauvais air » émanant des marécages était tenu responsable de la propagation de la maladie).
0/5000
De: -
Vers: -
Résultats (Créole haïtien) 1: [Copie]
Copié!
Le paludisme (du latin palus, « marais »[1]), aussi appelé malaria (de l'italien mal'aria, « mauvais air »[2], terme utilisé par les anglophones), est une maladie infectieuse due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles.Avec 207 millions de personnes malades et 627 000 décès en 2012[3], le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas sont enregistrés en Afrique subsaharienne (cf. section détaillée : « Épidémiologie »).Le parasite du paludisme est principalement transmis, la nuit, lors de la piqûre par une femelle moustique du genre Anopheles, elle-même contaminée après avoir piqué un individu impaludé. Le parasite infecte les cellules hépatiques de la victime puis circule dans le sang, en colonisant les hématies et en les détruisant. De nombreuses espèces animales homéothermes sont parasitées par des Plasmodiidae, qui leur sont inféodés ; l'humain ne peut être parasité par des Plasmodium animaux, exception faite du Plasmodium knowlesi. Sur les cent-vingt-trois espèces du genre Plasmodium répertoriées, seules quatre sont spécifiquement humaines : Plasmodium falciparum responsable d'une grande majorité des décès, et trois autres qui provoquent des formes de paludisme « bénignes » qui ne sont généralement pas mortelles Plasmodium vivax, Plasmodium ovale, et Plasmodium malariae. Plasmodium knowlesi (en) que l'on croyait jusqu'à une date récente spécifique aux espèces simiennes est désormais à compter parmi les Plasmodiums affectant également les humains, de façon généralement bénigne également (cf. section détaillée : « Causes »).La cause de la maladie a été découverte le 6 novembre 1880 à l'hôpital militaire de Constantine (Algérie) par un médecin de l'armée française, Alphonse Laveran, qui reçut le prix Nobel de physiologie ou médecine en 1907. C'est en 1897 que le médecin anglais Ronald Ross (prix Nobel en 1902) prouva que les moustiques anophèles étaient les vecteurs de la malaria (jusqu'à cette date, le « mauvais air » émanant des marécages était tenu responsable de la propagation de la maladie).
En cours de traduction, veuillez patienter...
Résultats (Créole haïtien) 2:[Copie]
Copié!
Malarya (ki soti nan Palus nan Latin, "marekaj" [1]), ki rele tou malarya (ki soti nan mal'aria Italyen an, "move lè" [2], se yon tèm yo itilize pa moun ki pale angle) se yon maladi kontajye ki te koze pa yon parazit genus a plasmodyom, gaye nan mòde an nan sèten espès anofèl moustik. ak 207 milyon moun malad epi 627 000 moun ki mouri nan 2012 [3], malarya rete maladi ki pi enpòtan parazit ak sitou pou timoun ki poko senk ane fanm ansent. 80% nan ka yo nan sub-Saharan Afwik (gade detaye seksyon "Epidemyoloji"). Se parazit nan malarya transmèt sitou nan mitan lannwit, lè mòde an pa yon moustik fi nan genus anofèl a, tèt li enfekte apre mòde yon malarya ki enfekte endividyèl elèv yo. parazit nan enfekte selil yo fwa nan viktim nan ak Lè sa a sikile nan san an, pa kolonizasyon selil yo ak detwi yo. Anpil cho-vigoureux espès bèt yo parazite pa Plasmodiidae ki se anba sèvis yo; moun ka parazite pa plasmodyom bèt yo, eksepte plasmodyom knoulsi. Nan yon santèn nan ven-twa espès yo nan genus plasmodyom an ki nan lis, se sèlman kat yo espesyalman moun: plasmodyom falsiparom responsab pou yon majorite gwo sou moun ki mouri, ak twa lòt moun ki lakòz "Benign" fòm malarya ki yo souvan pa konn fatal vivaks plasmodyom , plasmodyom oval, ak plasmodyom malarya. se plasmodyom knoulsi (nan) ki te kwè jiska dènyèman nan yon espès espesifik simyen kounye a konte nan mitan Plasmodiums la tou afekte moun, se konsa tou anjeneral Benign (gade nan seksyon an detay "ki lakòz"). Kòz la te maladi a dekouvri 6 novanm 1880 nan lopital la militè nan Constantine (Aljeri) pa yon doktè nan lame a franse, Alphonse Laveran, ki te resevwa pwi a Nobèl nan fizyoloji oswa medikaman nan 1907. nan 1897 angle doktè Ronald Ross (Nobel prize nan 1902) pwouve ke anofèl moustik te vektè malarya (nan dat, "move lè a" soti nan marekaj te responsab pou maladi gaye, maladi a).





En cours de traduction, veuillez patienter...
 
Autres langues
l'outil d'aide à la traduction: Afrikaans, Albanais, Allemand, Amharique, Anglais, Arabe, Arménien, Azéri, Basque, Bengali, Birman, Biélorusse, Bosniaque, Bulgare, Catalan, Cebuano, Chichewa, Chinois, Chinois traditionnel, Cingalais, Corse, Coréen, Croate, Créole haïtien, Danois, Détecter la langue, Espagnol, Espéranto, Estonien, Finnois, Français, Frison, Galicien, Gallois, Gaélique (Écosse), Grec, Gujarati, Géorgien, Haoussa, Hawaïen, Hindi, Hmong, Hongrois, Hébreu, Igbo, Irlandais, Islandais, Italien, Japonais, Javanais, Kannada, Kazakh, Khmer, Kinyarwanda, Kirghiz, Klingon, Kurde, Laotien, Latin, Letton, Lituanien, Luxembourgeois, Macédonien, Malaisien, Malayalam, Malgache, Maltais, Maori, Marathi, Mongol, Norvégien, Néerlandais, Népalais, Odia (oriya), Ouzbek, Ouïgour, Pachtô, Panjabi, Persan, Philippin, Polonais, Portugais, Roumain, Russe, Samoan, Serbe, Sesotho, Shona, Sindhî, Slovaque, Slovène, Somali, Soundanais, Suédois, Swahili, Tadjik, Tamoul, Tatar, Tchèque, Telugu, Thaï, Turc, Turkmène, Ukrainien, Urdu, Vietnamien, Xhosa, Yiddish, Yorouba, Zoulou, indonésien, Traduction en langue.

Copyright ©2025 I Love Translation. All reserved.

E-mail: