Octobre 1942
A l'attention de Son Eminence XXX
Affaire Secreti Templum
Comme je vous l'avais indiqué lors de notre dernière rencontre, les événements se sont aggravés en france. La loi contre les sociétés secrétes, promulgés par le Maréchal Pétain, a été mise en application avec une extrême fermeté et il ne reste plus aucune loge maçonnique en activité dans ce pays. Les francs-maçons ont été pourchassés et il a été très difficile de prendre contact avec leurs représentants passés dans la clandestinité. Néanmoins, grâce à l'aide du Dr Jouhanneau, un professeur de médecine qui a occupé des fonctions importantes dans une obédience maçonnique, j'ai pu prendre contact avec un membre supposé du SECRETI TEMPLUM.
La rencontre a eu lieu dans une abbaye bénédictine, située en zone libre, dont je préfére taire le nom par souci de sécurité.
Le Grand Maître de cette loge, le père supérieur de cette abbaye, a été surpris et inquiét d'apprendre que le Vatican était au courant de son existence. Sa méfiance était d'autant plus forte que le Saint Siège entretien den bonnes relations avec le gouvernement du Maréchal Pétain. Une dénonciation de sa condition de franc-maçon l'exposerait à de graves représailles.
En substance, la loge a été mise en sommeil à cause de la guerre. Deux membres ont été déportés en Allemagne car ils appartenaient au réseau maçonnique de la résistance, Patriam Recu perare, un troisième est parti à Londres suivre le général De Gaulle, un quatrième est mort dans un acciodent. Il ne reste que trois frères, dont le père supérieur.
Ce denier est dans un état d'abattement prononcé, il m'a avoué qu'il se sentait comme Jacques De Molay, à la chute de l'Ordre. Mais l'homme est entété et ne veut rien avouer sur le secret. Il m'a seulement révélé que chacun des frères était détenteur d'une partie qui menait au secret et qu'avant la mort des autres, il avait pu tout mettre en sécurité. Il m'a aussi aprris qu'au fil des siècles le secret avait changé de cachette.
Je vous demande conseil. En tant que chrétien, je ne peux bien évidemment dénoncer cet homme aux autorités, mais d'un autre côté, le rapport de force est en notre faveur et le père supérieur le sait.C'est une occassion unique pour l'église de récupérer ce qui lui appartient de plein droit.
J'attends votre réponse via la procédure traditionnelle.
August MCMXLII
quia Eminentia attentione XXX
Case secreti Templum , indicavi tibi, sicut in ultimo conventu, res in Gallia nil derogare. Lex contra occultum promulgés societates a Mareschallo Pétain erat implemented cum extrema firmitatem et non aliquod operans maneat in hoc patriam in Civitatibus Foederatis. Ad hos ac difficiles Freemasons Add legationes abditis. Tamen ope Jouhanneau Dr, professor in medicina honores haberi qui Civitatibus potui tangere hominem putant secreti templum. Consilium autem in abbatia, sita in zona liberi, quos malo equidem nomen dissimulare securitate. Maximo magister cellulam, abbas monasterii, quod Vat admirans discere de quo esse sciebat. His erat usque fortior, quam diffidentia a Sancta Sede relationes cum conloquium den bonum regimen Pétain Marescalli. Gravi conditione eius denuntiatio Freemason presumpserit. Essentialiter est cellulam mothballed propter bellum. Duo qui translati sunt in Germania, quia pertinent ad resistentiam in Civitatibus retis, Patriam perare accepistis, tertius a, Londinum ei sequere de Gaulle, quartum in a acciodent mortuus est. Quem solum sunt tres superiores. Et locutus reductionem in nummo, tunc sensit me quod Jacques de Molay, casus ordinis. Sed homo non vult atque admittit secreta contumacem. Qui autem possessor quilibet fratrum et ostendens quod ad partis taciti ante mortem et alia omnia tuta poterat. Dicebat enim saeculorum aprris protectionem locus mutatus. EGO consulo. Tunc enim potest hunc auctoritatibus aperte denuntiabat, sed e contrario, secundum nos inclinari opes et pater superiorem sait.C'est recuperare unicum pro ecclesia occassion quae illius est. traditum per modum responsum exspecto.
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