Ce qui s’est passé aux États-Unis après les attentats
du 11 septembre 2001 devrait servir de repoussoir.
Les Américains ont mis du temps à s’en rendre
compte, mais ils l’ont finalement compris, en élisant
un président qui s’était opposé à la guerre en Irak
et à l’État sécuritaire (que Barack Obama n’ait
pas été au bout de ses promesses de 2008 est
un autre débat). Un certain nombre de politiciens,
d’intellectuels et de journalistes ont également fait
leur mea culpa, regrettant de s’être laissé entraîner par
la peur et le bellicisme.
La gauche française à ce