Jamais n’aurai-je cru que tu puisse

Jamais n’aurai-je cru que tu puisses me faire ressentir ce que je redoute et profondément déteste. A travers les frissons et maux que tu me donnes, tu me changea entièrement, changea le regard que j’ai sur le monde, un regard désormais innocent, une âme qui aime et compatie.
Mais durera-t-il ?
Tu détruis également tout ce qui m’entoure, me laissant seule, nu, face à ce corps tout puissant, soumise à chacun de tes désirs, esclave de tes pensées… toi, tu ne perds rien, ne ressens rien, et comme humilié je m’incline devant ton altesse, n’attendant en retour qu’un salut aimable, déjà tant aimé…

Résultats (Latin) 1:

Absit a me ut tangam possis credere altius timor et odio. Per gelida dolor dabis mihi estis me, ego mundo mutaverit aspectum, innocentem videte sympathias diligit anima.
Et stabit?
perdes omnes circumdederunt me solum relinquatis et nudus obeunda potens subiectum corpus singulorum desideria cogitationum ... servus te perdam, sentire debet, et humiliatum flecto celsitudo vestra, in exspectatione reditus amice, salve iam sic ... dilexit