A) De l’Histoire d’une âme de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus[Ma mère traduction - A) De l’Histoire d’une âme de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus[Ma mère Latin comment dire

A) De l’Histoire d’une âme de saint

A) De l’Histoire d’une âme de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus

[Ma mère chérie, Agnès de Jésus] les souvenirs que je vais évoquer sont aussi les vôtres puisque c’est près de vous que s’est écoulée mon enfance et que j’ai le bonheur d’appartenir aux parents sans égaux qui nous ont entourées des mêmes soins et des mêmes tendresses. Oh ! qu’ils daignent bénir la plus petite de leurs enfants et lui aider à chanter les miséricordes divines !...
Jésus voulait, dans son amour, me faire connaître la mère incomparable qu’il m’avait donnée, mais que sa main divine avait hâte de couronner au Ciel !... Toute ma vie le bon Dieu s’est plu à m’entourer d’amour, mes premiers souvenirs sont empreints des sourires et des caresses les plus tendres !... mais s’Il avait placé près de moi beaucoup d’amour, Il en avait mis aussi dans mon petit cœur, le créant aimant et sensible, aussi j’aimais beaucoup papa et maman et leur témoignais ma tendresse de mille manières.
Comme elles ont passé rapidement les années ensoleillées de ma petite enfance, mais quelle douce empreinte elles ont laissée en mon âme ! Je me rappelle avec bonheur les jours où papa nous emmenait au pavillon, les plus petits détails se sont gravés dans mon cœur... Je me rappelle surtout les promenades du dimanche où toujours maman nous accompagnait...
Tous les détails de la maladie de notre mère chérie sont encore présents à mon cœur, je me souviens surtout des dernières semaines qu’elle a passées sur la terre.
Hélas ! cette pauvre petite mère était déjà trop malade pour manger les fruits de la terre, elle ne devait plus se rassasier qu’au Ciel de la gloire de Dieu et boire avec Jésus le vin mystérieux dont [Il] parla dans sa dernière Cène, disant qu’Il le partagerait avec nous dans le royaume de son Père. La cérémonie touchante de l’extrême-onction s’est aussi imprimée en mon âme ; je vois encore la place où j’étais à côté de Céline, toutes [les cinq] nous étions par rang d’âge et ce pauvre petit père était là aussi qui sanglotait...
Le cœur si tendre de papa avait joint à l’amour qu’il possédait déjà un amour vraiment maternel !…
Je ne puis dire ce que j’aimais papa, tout en lui me causait de l’admiration.
Voici avec quelle foi papa accepta la séparation de sa petite reine, il l’annonçait en ces termes à ses amis d’Alençon : " Bien chers amis, Thérèse, ma petite reine, est entrée hier au Carmel... Dieu seul peut exiger un tel sacrifice... Ne me plaignez pas, car mon cœur surabonde de joie. " II était temps qu’un aussi fidèle serviteur reçut le prix de ses travaux, il était juste que son salaire ressemblât à celui que Dieu donna au Roi du Ciel, son Fils unique... Papa venait d’offrir à Dieu un autel [pour la cathédrale de Lisieux] ce fut lui la victime choisie pour y être immolée avec l’Agneau sans tâche.
Notre père chéri boirait à la plus amère, à la plus humiliante de toutes les coupes. Ah ! ce jour-là je n’ai pas dit pouvoir souffrir encore davantage !... Les paroles ne peuvent exprimer nos angoisses, aussi je ne vais pas essayer de les décrire. Un jour, au Ciel, nous aimerons à nous parler de nos glorieuses épreuves, déjà ne sommes-nous pas heureuses de les avoir souffertes ? Oui les trois années du martyre de papa me paraissent les plus aimables, les plus fructueuses de toute notre vie, je ne les donnerais pas pour toutes les extases et les révélations des Saints, mon cœur déborde de reconnaissance en pensant à ce trésor inestimable qui doit causer une sainte jalousie aux anges de la céleste cour...
Le 29 juillet [1894], le bon Dieu rompant les liens de son incomparable serviteur l’appela à la récompense éternelle.

NB : texte choisi et mis en forme par le Père Conrad de Meester, OCD



Répons

R/ L'amour est fort comme la mort,
la passion est implacable comme l'abîme.
Ses flammes sont des flammes brûlantes, c'est un feu divin
* les torrents ne peuvent éteindre l'amour.
V/ Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis.
R/ Les torrents ne peuvent éteindre l'amour.



Ou bien
B) De la correspondance de la bienheureuse Zélie Martin

(…) [Loin de mon époux, je suis] « comme les poissons que [lui] tire hors de l'eau ; ils ne sont plus dans leur élément, il faut qu'ils périssent ! Cela me ferait le même effet si mon séjour [ici à Lisieux avec les enfants ] devait se prolonger beaucoup. Je me sens mal à l'aise, je ne suis point dans mon assiette, ce qui influe sur le physique et j'en suis presque malade. Cependant, je me raisonne et tâche de prendre le dessus ; je te suis en esprit toute la journée ; je me dis : “ Il fait telle chose en ce moment. ” Il me tarde bien d'être auprès de toi, mon cher Louis; je t'aime de tout mon cœur, et je sens encore redoubler mon affection par la privation que j'éprouve de ta présence ; il me serait impossible de vivre éloignée de toi. (…) Nous revenons mercredi soir, à sept heures et demie. Que cela me paraît long !
Je suis toujours très heureuse avec [Louis], il me rend la vie bien douce. C’est un saint homme que mon mari, j’en désire un pareil à toutes les femmes. Voilà le souhait que je leur fais. On n’en rencontrerait pas un sur cent qui soit aussi bon. Je suis si heureuse aujourd’hui à la pensée de le revoir que je ne puis travailler. Je ne me repens pas d’être mariée.
Si le bon Dieu me faisait la grâce de pouvoir allaiter [Thérèse], ce ne serait qu’un plaisir de l’élever. J’aime les enfants à la folie, j’étais née pour en avoir, mais il sera bientôt temps que cela finisse. J’aimerais mieux mourir que de me séparer d’eux. [Bref] j’aurais quarante et un ans, c’est l’âge où l’on est grand-mère. C’est un travail si doux que de s’occuper de ses petits enfants ! Si je n’avais que cela à faire, il me semble que je serais la plus heureuse des femmes. Mais il faut bien que leur père et moi travaillions pour leur gagner une dot, sinon, quand ils seront grands, ils ne seraient pas contents de nous !
Moi aussi, je voudrais bien être une sainte, mais je ne sais pas par quel bout commencer ; il y a tant à faire que je me borne au désir. Je dis souvent dans la journée : « Mon Dieu que je voudrais bien être une sainte ! » Puis je n’en faits pas les œuvres ! Il est pourtant grand temps que je m’y mette…
Il faut, mes chères petites filles, que je me rende aux Vêpres, pour prier à l'intention de nos chers parents défunts. Il viendra un jour où vous vous y rendrez pour moi, mais il faut que je fasse en sorte de ne pas avoir trop grand besoin de vos prières. Je veux devenir une sainte, ce ne sera pas facile, il y a bien à bûcher et le bois est dur comme une pierre. Il eût mieux valu en y prendre plus tôt, pendant que j’étais moins difficile mais enfin “ mieux vaut tard que jamais ”.
Je prierai la Sainte Vierge pour les petites filles qu’elle m’a données afin qu’elles soient toutes saintes et que moi, je les suive de près, mais il faut qu’elles soient bien meilleures que moi.
J’ai mené rude vie, cela me coûterait bien de la recommencer, je crois que le courage me manquerait. Et juste alors que je pourrais enfin respirer, je vois le signal du départ, comme si on me disait : “ Tu en as fait assez, viens te reposer. ” Mais non, je n’en ai pas fait assez, ces enfants-là ne sont pas élevés. Ah ! sans cela la mort ne me ferait pas peur.

C’est bien triste de mourir en dormant ; pour moi, j’aime mieux être bien éveillée et voir la mort venir. Enfin, le bon Dieu me fait la grâce de ne point m’effrayer [de la mort]; je suis très tranquille, je me trouve presque heureuse, je ne changerais pas mon sort pour n’importe lequel. Si le bon Dieu veut me guérir, je serai très contente, car, dans le fond, je désire vivre ; il m’en coûte de quitter mon mari et mes enfants. Mais, d’autre part, je me dis : « Si je ne guéris pas, c’est qu’il leur sera peut- être plus utile que je m’en aille… En attendant, je ferai le possible pour obtenir un miracle ; je compte sur le pèlerinage de Lourdes ; mais, si je ne suis pas guéri, je tâcherai de chanter tout de même au retour.
La Sainte Vierge ne m’a pas guérie à Lourdes, que voulez-vous, c’est que mon temps est fait et que le bon Dieu veut que je me repose ailleurs que sur la terre. On a fait tout ce que l’on devait faire, laissons le reste entre les mains de la Providence. (…) Si je ne guéris pas, c’est que le bon Dieu tiendra dur à m’avoir… [Moi] je suis comme les enfants qui ne s’inquiètent pas du lendemain, j’espère toujours du bonheur. »

NB : texte établi par Monseigneur Guy Gaucher.
Les mots entre crochets ont été ajoutés pour la compréhension du texte.

Répons

R/ Soyez dans la joie, cherchez la perfection,
encouragez-vous, soyez d’accord entre vous, vivez en paix
* chantez le Seigneur et célébrez-le de tout votre cœur.
V/ Quel que soit votre travail, faites-le de bon cœur,
pour le Seigneur et non pour plaire à des hommes.
R/ Chantez le Seigneur et célébrez-le de tout votre cœur.


A) De l’Histoire d’une âme de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus

[Ma mère chérie, Agnès de Jésus] les souvenirs que je vais évoquer sont aussi les vôtres puisque c’est près de vous que s’est écoulée mon enfance et que j’ai le bonheur d’appartenir aux parents sans égaux qui nous ont entourées des mêmes soins et des mêmes tendresses. Oh ! qu’ils daignent bénir la plus petite de leurs enfants et lui aider à chanter les miséricordes divines !...
Jésus voulait, dans son amour, me faire connaître la mère incomparable qu’il m’avait donnée, mais que sa main divine avait hâte de couronner au Ciel !... Toute ma vie le bon Dieu s’est plu à m’entourer d’amour, mes premiers souvenirs sont empreints des sourires et des caresses les plus tendres !... mais s’Il avait placé près de moi beaucoup d’amour, Il en avait mis aussi dans mon petit cœur, le créant aimant et sensible, aussi j’aimais beaucoup papa et maman et leur témoignais ma tendresse de mille manières.
Comme elles ont passé rapid
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A) ex sanctae Teresiae a Iesu Infante De anima [mater carissima, Agnes Iesu] Dicam etiam fuique memoriam fere elapso certum Habeo pueritia bonis parentibus esse sine studio atque eodem vallo coequalem parcitur. Oh! et parvulorum suorum auxiliatoribus eius minima benedicere dignare dicere beneficiorum ... voluit in caritate, quae data est mihi ut sciam quod incomparabilem matris, sed divina manu cupidus regni diadema in coelo ... Omni vita mea Dominus voluit cingor fulgentibus bonum amoris et primum euismod risus benignissima signantur blanditiis ... Si autem posuerat in fortitudine mea magna dilectione etiam in corde meo, et sensitivum pia occasum sicut pater et mater amata meae mille modis amor testabantur. Quibus annis citius aprico adulescentia mea sed dulci vestigia reliquerunt, in anima mea Memini cum voluptate diebus unius iudicis quando dad tulit nos ad cellulam, in minimis quoque rebus sunt signátum in cor meum ... Memini maxime dominica ambulat ubi Mom semper nobiscum ... Singulae vero partes morbo dilectorum mater adhuc mihi memini hebdomadas praesertim ultimis terris impenditur. Heu! mater etiam male pauperculus edere fructus terrae, non saturari gloriam Dei et Iesum in caelo coram arcana vini [et] est in ultima coena, dicens Qui cum esset in regnum Patris sui consortes. Tactus etiam typis extremae unctionis ritum animam meam Adhuc videte locum ubi positus erat iuxta Adeste omnes [quingentos] essemus secundum aetates et ... paupertatem pater gemitus quoque Pater est tenerioribus iunxisse iam vere materno amore dilectionis ... possum dicere quod Pater dilexit dum mihi admiratione defixi. Ecce quoniam fides separata a patre accepisset reginam suam pronuntiat modi de Alenconio amicis: "Carissimi, invidiae meae regina cum hesterno Carmeli sacrificium ... ... petere non solus Deus miserere mei quoniam abundat pectus laetitia . "Et tunc quod servus accepit pretium operae erat id dedi stipendio, quod Deus similis Regem caeli, Eiusque soli Filio Pater quod offerre Deo altare ... [ad cathedrale Lexoviensis] ipse elegit immolari hostia Agni immaculati. accitu cari genitoris nostri bibiturus acerbissima omnium contumeliosissimum poculis utuntur. Ah! Non feres ad illa ... nostras sollicitudines Difficile est dictu, ut non describi possunt experiri. Olim in coelo nobis loqui volumus gloriosissimorum iudiciis diutius pati non libenter sumus? Sed martyrium videtur mihi tres annos Pater amabilis uberrimis totius vitae nostrae, et non dabunt eis potum omnibus excessibus revelationes Sanctorum grato animo cogitantis redundet oportet huius inaestimabilis thesaurus Pompeio suspectae Caesaris faciunt sancti angeli celestis curie ... July XXIX [MDCCCXCIV] Deus rupit vincula eius servus vocatus incomparabili aeternae retributionis. NB: Pater Text uellent by Conrad de Meester, OCD Responsorium R / fortis est ut mors dilectio, dura sicut passio abyssum irent. lampades eius lampades ardentes hac habitasse platea dictumst igne torrentes * non potuerunt exstinguere caritatem. V / maiorem hac dilectionem nemo est ut animam suam ponat quis pro amicis suis. R / torrentes non poterunt extinguere caritatem. Or B) ex correspondentia Zelia beati Martini (...) [Abest maritum I] "quasi pisces [la] ex aqua fit; Itaque iam non sunt in elementum pereundum? Si essem commoratus eosdem parit effectus [Lexoviensis in filiis] Quantum ad nos. Et incommoda, mihi sum argentum, quod pertinet ad physicam et quasi infirmus sum. Tamen temptare me rationem acciperet; Sequor spiritu per diem Inquam "est tale elit. "Exspecto ut maneat vobiscum in bonis mi Louis; Te amo Deum meum, et privatione sentire etiam sentimus amorem ingeminant facie tua Absit a te, non potest mihi domum ad habitandum. (...) Revertamur ad dimidiam horam septimam mercurii nocte. Quod videtur diu adhuc sum laetissimus [Louis] dulcissimum facit animam. Homo enim sanctus vir, agerem omnes mulieres. Utque hoc faciam. Non est bonum ad centum. Gavisus sum hodie non possum facere videret eum. Non me paenitet me esse duxi. Si dederit mihi gratiam breastfeed bonus [Paul] esset voluptatem suscipit. Ut filii dementavit natus sum, sed ad hoc quod mox complebo. Enim mihi magis mori, quam ut ab iis separari. [Denique] Volo quadragesimum annum aetatis est aviae suae. Quod opus eius tam dulcis cura nepotes! Se id facere, ut ei beatissimi esse puto mulierum. At sciendum, quod a patre et mereri feci sponsalia nisi, cum ad perfectam aetatem, non cessuram nobis esse sanctum et esset diligeretis utique et nescio ubi committitur ; tanta me habebo modum facere voluerint. Saepius in die illa dici: "Deus meus, esse sanctum diligere; «Et non potuerunt inhibere eos placuitque operamini Sed iam tempus est Ipse me ... Oportet mi puellas me ad Vesperas, ut depreceris pro caris parentibus defunctis. Veniet autem dies cum iter faceret me, ut mihi quidem non multum opus fuit. Sanctus fieri volo, non facile multi periclitantur et ligna eius indurabitur quasi lapis. Fuisset melius est ante omnem difficultatem tamen "Potius sero quam numquam." Ego rogabo pro puellis adaquavit michi Sancta sanctis et subsequi, sed opus esse melius quam me. tribulationem duxi eam committitur constaret me credo animo deficiant. Et cum tandem exspirare video signum profectionis ut dicis: "Tu fecisti satis venient et quiescent. "Nemo, non plura, non sunt isti magni. Ah! alioquin non me terreat mortem. Valde dolendum moriantur in sordibus suis somnum Ego malim esse morte insomnis et vide. Denique, Deus tuus dederit mihi gratiam non cassibus ullis me [a morte]; Sum silentium ego quasi felices sortem nolui mutare valeret. Si vult curare mihi esse beatus, quia plerumque volo vivere et pueri mei mecum constet supersit viro meo. Sed alio modo, ut opinor, "Si sanari non possit, si id erit utilius ire ... Interim optimum faciam ut miraculum; Existimo peregrinatio Lourdes; si non sanentur omnes cantare conabor æqualia. Sancta Virgo Lourdes sanari non indicasti mihi, et quid vis ut fieri quod Deus vult omne tempus Ego quoque terra requiescit. Et fecerunt centuriones iuxta omnia quae ad nos, reliquas in manibus tuis. (...) Si sanari non possit, quod Deus est difficile me ... [Me] Similis factus sum in crastinum non curant pueri adhuc spem beatitudinis. "NB :. Text Guido Episcopus paratus Gaucher Verba uncis quadratis addita ad textus intelligentiam. Répons R / Gaudere expectans perfectionem incitet esse inter vos in pace , Cantemus Domino ex toto corde tuo et celebrate eam. V / Omne opus tuum in toto corde meo hoc faciam, quoniam non placere. R / cantate Domino et celebrate eam cum omni corde. A) Ex Historiae sanctae Teresiae a Iesu Infante anima [mater carissima, Agnes Iesu] Dicam etiam fuique memoriam fere certum s ' et ego transivi pueritia bonis parentibus esse sine studio atque eodem vallo coequalem parcitur. Oh! et parvulorum suorum auxiliatoribus eius minima benedicere dignare dicere beneficiorum ... voluit in caritate, quae data est mihi ut sciam quod incomparabilem matris, sed divina manu cupidus regni diadema in coelo ... Omni vita mea Dominus voluit cingor fulgentibus bonum amoris et primum euismod risus benignissima signantur blanditiis ... Si autem posuerat in fortitudine mea magna dilectione etiam in corde meo, et sensitivum pia occasum sicut pater et mater amata meae testabantur mille modis amor. Dum celeri


























































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