Ni le FBI, ni la CIA, ni les services de police, nila Maison Blanche (qui avait reçu un mémo en août2001 avertissant que « Ben Laden [était] déterminéà frapper les États-Unis » ) n’ont souhaité quel’on creuse davantage dans la chaîne d’erreurs quiavait abouti aux attentats. Avec la catastrophe del’intervention irakienne, George W. Bush deviendracoutumier de l’expression passive « mistakes weremade » (« des erreurs ont été commises ») pours’absoudre, lui et son équipe, de toute responsabilitépersonnelle ou institutionnelle.
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