On a mis sur le compte de Mercure un grand nombre de filouteries. Étant encore enfant, ce dieu des marchands et des larrons avait dérobé à Neptune son trident, à Apollon ses flèches, à Mars son épée, à Vénus sa ceinture. Il vola aussi les bœufs d'Apollon ; mais, en vertu d'une convention pacifique, il les échangea contre sa lyre. Ces larcins, allégories assez transparentes, indiquent que Mercure, sans doute personnification d'un mortel illustre, était à
Induimus swindles Durare nequeo numerus. Sicut puer, deum furum atque mercatorum furatus est Neptuno tridentem, Apollini sagittas Venerem Marti gladium in balteo defigitur. Et furata est Apollo pecoris; sed pacisque concordia, contra laetis lyra. Haec furta pulchellus diaphanum allegorias, indicate Mercurium, probably personification mortifero ostendit, fuit
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